mercredi 8 septembre 2010

Toujours cette envie de partir très loin...


On se réveille un matin, et on se prend une grosse claque dans la gueule, a-t-on choisi le bon chemin, a-t-on parcouru la bonne route, est-ce que les cailloux qu'on a laissé sur le sol comme le petit poucet sont toujours là... Quand le coeur est lourd et que le mal est si profond que les mots ne sortent, que les larmes, larmes qu'on ne connaissait plus... Le syndrome de Peter Pan, c'est douloureux. Ne pas vouloir faire tous ces choix qui vont déterminer notre vie ou au moins un départ dans la vie d'une adulte... Le mot adulte est un mot tellement fort, dur et qui apeure... Vivre en sachant que l'on va mourir devrait nous inciter à profiter de chaque instant, mais Evy défie celui qui n'a jamais été malheureux de lui expliquer ce qu'est le bonheur. Car sans malheur, on ne peut déterminer le bonheur et sans haine on ne peut déterminer l'amour. L'autodestruction... Un principe même de l'humain, je jure que si je trouve le type qui nous a créé je lui arrache les yeux.

lundi 28 juin 2010

mercredi 16 juin 2010

Il était une fois...


Evy, comment dire, une part de moi, celle qui s'abandonne à penser et réfléchir, celle qui ne se contente plus de faire rire les gens mais les pousse à se poser des questions et les retient grâce à ses mots. Celle que j'aime dévoiler à mes lecteurs sans qu'ils ne puissent avoir confirmation une seule seconde que je puisse parler de ma petite personne ou bien d'un personnage fictif. J'aime le petit personnage qu'Evy représente au fond de moi, la petite place qu'elle tient dans mon petit corps menu. Plus le temps s'écoule plus je la découvre. C'est elle qui fait que je ne m'ennuie jamais et que mon esprit est toujours tourmenté, celle qui me porte plus loin que toutes les limites imaginables. J'ai plaisir à vivre avec cette personnalité bien qu'elle ne soit pas toujours de bonne compagnie ! On a tous une petite personne au fond de nous, et je pense que sans celle-ci, on se sentirait bien vide et dénué de tout sens...

lundi 14 juin 2010

Mélancolie...


Tu n'es pas là et je me torture l'esprit en ressassant des morceaux du passé, comme à chaque fois que je me retrouve seule. J'ai peine à me dire que je ne changerais peut-être jamais et que cet amalgame entre le mal-être et la solitude ne me laissera donc pas vivre heureuse. Je ne comprend toujours pas comment tirer un trait sur mon passé alors qu'il m'a construite et qu'il continu pour chaque seconde qui s'écoule. Bien que j'ai réussi à passer le cap, les moments de solitudes restent rares mais durs. Je suis enfermée dans ce tourbillon de pensées et de souvenirs qui me brûlent de l'intérieur. La seule chose que j'ai appris c'est que mes larmes ne sècheront jamais les flammes qui consument mon coeur serré...

jeudi 27 mai 2010

Le paraitre ou ne pas être...


Ce que l'on est, pour un cas majeur de personne, est très différent de ce que le voudrait être, ou encore même de ce que l'on parait être, ou de ce que l'on pourrait être... Entre ceux qui se cachent derrière leurs sourires, ceux qui se noient dans leurs larmes, ceux qui préfèrent planer plutôt qu'affronter le monde qui nous entoure, ceux qui se rabattent sur internet et cette génération qui n'avance plus. J'ai toujours pensé que dans la société d'aujourd'hui, le paraitre prenait une place beaucoup trop importante, et plus je m'enrichie, plus j'apprend, plus j'ouvre les yeux et me rend compte que le paraitre a toujours été une des caractéristiques propre à l'humain. Paraitre, c'est une sorte de mensonge, aux autres, mais pas seulement. Certains s'en convainquent. Le monde dans lequel on m'a élevé est un monde où l'on m'a dit que les vraies valeurs étaient la sincérité, la confiance et la solidarité. Je me sens bien seule à présent. Contre notre gré, nous devenons tous les produits de la société, je ne m'en exclue absolument pas, quel égoïsme cela prouverait. Contre à la crise du manque d'originalité et face au paraitre qui ne nous fait pas être, j'ose encore chercher quelques humains qui comprennent mes mots... Mais avec tristesse et anxiété, je me demande quelle sera la colonne dans laquelle vous allez me ranger, car nous le savons tous, le paraitre mène au jugement, et le jugement classe les gens sans les connaitre.

dimanche 16 mai 2010

On détruit et on reconstruit... Plus ou moins bien.

On a toujours tendance à déterminer un début et une fin, on s'impose des limites de temps... Comme si l'on pouvait tout prévoir... L'humain est bien prétentieux. Enfin, ce blog va encore certainement être pour moi un objet de réflexion dans quelques moments d'ennuis ou d'inspirations peut-être allez savoir, j'espère que j'arriverais à distraire un minimum mes lecteurs, sinon ce blog restera des morceaux de mon cerveau, que personnes ne veut voir, étalés sur internet. Suite à ces belles paroles pleines de poésie je vous souhaite tout de même la bienvenue dans mon petit monde !